Certes, l’activité touristique a repris de plus belle, au grand bonheur des opérateurs, mais du côté des transporteurs touristiques, le fossé se creuse. Le parc automobile, insuffisant par rapport aux besoins, plombe l’activité, à l’aune de l’organisation d’événements d’envergure au Maroc tels que les assemblées annuelles des institutions de Bretton Woods. Pire encore, les prix des véhicules et les taux d’intérêt élevés gèlent l’investissement. Les professionnels du transport touristique ne savent plus à quel saint se vouer. Offusqués de ne...
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