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Jaguar F-Type: Cure de jouvence et de plaisir (Vidéo)

Du haut de ses 7 années de carrière, la Jaguar F-Type est toujours dans le coup ! Design ravageur, châssis affûté et motorisations de pointe en font l’engin idéal pour se faire plaisir au volant, seul ou accompagné, confiné ou à l’air libre.

Digne descendante des XK120, Type E et autres légendaires sportives sorties des usines de Coventry, la F-Type endosse aujourd’hui la casquette de la «Jaguar du plaisir».

Fraîchement passé par la case restylage, ce modèle en ressort avec tous les attributs qui en font, selon les propres termes de son constructeur, «une expression plus affirmée de l’éternelle Jaguar de sport».

Le changement le plus visible sur la face-avant réside dans les projecteurs avant qui deviennent plus effilés, dotés de modules à pixel LED, tout en conservant une signature lumineuse en «J».

À l’arrière, l’unique évolution concerne les blocs de feux dont le graphisme adopte les traits d’une chicane à l’image de ceux arborés par le SUV I-Pace.

On notera aussi que la version la plus musclée reste reconnaissable par un diffuseur d’air plus saillant et ses quatre sorties d’échappement.

Strict deux-places, l’habitacle n’a pas vraiment été chamboulé. Les deux grandes évolutions concernent le combiné d’instrumentation et l’écran multimédia. Le premier abandonne les traditionnels compteurs pour un afficheur numérique de 12,3’’ dont les informations peuvent être paramétrées selon les désirs du conducteur. Le second, toujours fondu dans la console centrale, gagne en connectivité avec non seulement l’adoption d’une interface dotée de la fonction mirroring (Android Auto, Apple CarPlay), mais aussi l’intégration des plateformes de streaming musical en ligne Deezer et Spotify.

L’expérience audio est magnifiée quand la sono est signée Meridian et dotée d’une kyrielle de haut-parleurs. Cela dit, pour bien des passionnés, la plus belle mélodie sera celle dégagée par l’échappement, même lorsque le moteur ne compte que 4 cylindres.

En passant par la case restylage, la F-Type a également fait travailler les ingénieurs de la marque. Ceux en charge du châssis l’ont amélioré en changeant ressorts, amortisseurs et barres antiroulis. Objectif: maintenir un comportement dynamique de haut vol.

En cela, la F-Type reste aussi bien servie par ses motorisations: un 4 cylindres de 300 ch, un V6 suralimenté de 380 ch, ainsi qu’un V8 suralimenté de 450 ch, voire 575 ch dans sa version radicale dite «R». Sur ces 4 versions, notre essai s’est focalisé sur les deux extrêmes.

Notre première prise en main a débuté avec la F-Type R dans une somptueuse livrée jaune.

Passé l’émerveillement de l’ouïe que procure le feulement du V8 Supercharged, c’est sur les routes portugaises qu’enchante la conduite de ce bolide. Même au volant de la version la plus modeste du lot, ce sont tout de même 300 chevaux qui s’offrent sous le pied droit avec une agilité et une sonorité loin d’être au rabais. Cela, d’autant plus qu’il s’agissait d’une version cabriolet.

L’occasion de rouler cheveux au vent et d’apprécier la température ambiante à bord, tout au long de notre parcours durant lequel nous avons fait une bonne cure de l’hormone du plaisir au volant.


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