4e édition de l’Annual Investor Conference : BMCE Capital connecte les marchés africains (VIDEO)
Organisée par BMCE Capital, la 4e édition de l’Annual Investor Conference réunit investisseurs institutionnels et sociétés cotées du Maroc, de Tunisie et de la zone UEMOA, et s’impose comme un carrefour stratégique de l’investissement panafricain, au service d’une finance plus intégrée, plus transparente et résolument tournée vers l’avenir.
À Casablanca, les 12 et 13 juin 2025, les regards du monde financier africain se tournent vers une scène devenue, en quatre éditions seulement, un carrefour stratégique pour les investissements en Afrique, l’Annual Investor Conference (AIC) organisé par BMCE Capital et animée conjointement par BMCE Capital Bourse et BMCE Capital Global Research (BKGR). Pensé comme une passerelle entre émetteurs et investisseurs, ce forum s’impose désormais comme un rendez-vous structurant pour l’écosystème boursier régional, de Rabat à
Abidjan, en passant par Tunis.
Une plateforme panafricaine d’investissement
Derrière ce succès, une ambition clairement assumée, celle de positionner Casablanca comme hub d’échanges entre les marchés d’Afrique du Nord et de l’Ouest, tout en donnant de la visibilité aux entreprises cotées dans ces régions.
Cette année, la 4e édition de l’AIC est plus ambitieuse que jamais. Si le socle marocain reste solide, avec la participation de plus de 24 acteurs phares comme Attijariwafa Bank, Cosumar, HPS, Label’Vie ou encore Marsa Maroc, l’édition 2025 innove en élargissant davantage le cercle des émetteurs à des sociétés tunisiennes et ouest-africaines comme Sonatel, Palmci, ou encore Delice Holding.
À noter également que plus de 40 investisseurs ont répondu présent à cet évènement. Ce positionnement multi-régional fait écho à une réalité de plus en plus prégnante, d’une intégration économique accrue entre les places boursières africaines. En réunissant investisseurs institutionnels et sociétés cotées de ces trois zones géographiques, BMCE Capital entend confirmer son rôle moteur dans l’élargissement du spectre de l’investissement transfrontalier.
Une scène de dialogue stratégique pour les capitaux
L’enjeu ne se limite pas aux seules rencontres bilatérales. L’Annual Investor Conference fonctionne aussi comme un baromètre des dynamiques sectorielles et des attentes des marchés. Plus de 90 réunions en one-to-one ont été organisées lors de la précédente édition, réunissant une quarantaine d’investisseurs locaux et internationaux et 25 sociétés cotées.
Le cru 2025 promet de faire mieux, avec une participation renforcée d’investisseurs étrangers, venant notamment d’Europe, d’Afrique anglophone ou du Moyen-Orient. Pour ces acteurs, l’AIC constitue un levier d’analyse unique qui permet de sonder directement les stratégies de croissance, la résilience opérationnelle ou encore les perspectives ESG des entreprises africaines.
En effet, cette plateforme d’échange est essentielle pour capter la réalité terrain des émetteurs, au-delà des chiffres. Elle offre aux investisseurs un accès privilégié à des insights concrets, souvent décisifs dans leurs choix d’allocation.
BMCE Capital, catalyseur d’un écosystème en mutation
En filigrane, cette conférence reflète la volonté de BMCE Capital de jouer un rôle structurant dans le développement des marchés de capitaux africains. Présent au Maroc, en Tunisie et en zone UEMOA, le pôle banque d’affaires du groupe Bank Of Africa déploie un éventail complet de services, en l’occurrence l’intermédiation, la gestion d’actifs, la titrisation, le conseil financier ou encore la recherche.
Ce positionnement intégré lui confère une capacité à articuler les besoins des investisseurs avec les projets des entreprises, dans un contexte de montée en puissance des marchés africains.
Dans un environnement marqué par des défis multiples, transitions énergétiques, digitalisation, exigences ESG, accès au financement…, l’Annual Investor Conference agit comme un révélateur des dynamiques en cours. Les thématiques abordées vont bien au-delà des seuls indicateurs financiers, elles touchent aux mutations de la gouvernance, à l’attractivité des marchés secondaires ou encore aux mécanismes d’accompagnement de la croissance des PME cotées.
Sanae Raqui / Les Inspirations ÉCO
