Ni le meilleur, ni le pire
Les Inspirations ÉCO» lance une série d’articles-analyses sur le bilan gouvernemental, par secteurs. L’ambiance pré-électorale s’y prête pour mettre un focus sur l’action gouvernementale depuis 2011, étayé par des chiffres, statistiques et décryptage. L’objectif étant de permettre aux lecteurs de se faire une opinion objective et neutre sur chacun des secteurs clés de compartiments sociaux-économiques les plus attendus par le citoyen. Car, pendant ces semaines qui précèdent les élections, l’on entendra et lira de tout et de n’importe quoi. Les coups bas étant à leur comble, il serait judicieux de contribuer modestement à relever le niveau des débats sans parti pris. C’est pourquoi, «Les Inspirations ÉCO» essayera de présenter la situation, des secteurs analysés, la plus proche de la réalité, sans prétendre l’exhaustivité ou l’inexistence de marge d’erreur. On l’a toujours dit et répété, le gouvernement Benkirane n’est ni le meilleur, ni le pire. Il a eu ses moments de gloire comme ses couacs…parfois retentissants. Son bilan peut être apparenté à un verre à moitié plein ou à moitié vide, selon l’appréciation de tout un chacun. Dans ce numéro qui relate l’épisode 1 de ce bilan, «Les Inspirations ECO» s’intéresse au Plan Maroc Vert qui présente des avancées indéniables avec quelques insuffisances à combler, mais qui concrétise, de la plus belle manière, les effets positifs de la continuité. En effet, ce PMV a été initié sous le gouvernement El Fassi en 2008 et a continué ses orientations en management et en stratégie sous le cabinet Benkirane.