Opinions

À vos marques !

C’est fait : la candidature du Maroc pour l’organisation de la Coupe du monde 2026 a officiellement été lancée. Il y a d’abord lieu de signaler que c’est le rêve d’une Nation, l’ambition d’un peuple. À partir de là, il faut adopter une démarche fédératrice de toutes les forces vives du pays, de la société civile, des citoyens. C’est ce qu’a d’ailleurs annoncé Moulay Hafid Elalamy, président du comité de candidature, déclarant à plusieurs reprises que cette candidature est celle de tous les Marocains. Oui, le Maroc a plusieurs problèmes, et certains d’entre eux ne seront pas résolus de sitôt ; c’est pourquoi il faut dissocier ceux-ci de la candidature. «Cette candidature ne va pas changer le monde», ainsi que cela a été répété hier lors de la conférence de lancement, en réponse à ceux qui croyaient qu’il fallait régler tous les maux du pays avant de franchir le cap de ladite candidature ! «Maroc 2026» : le rêve est permis puisque notre pays jouit d’indéniables atouts, au-delà des clichés. Certes, nous devons séduire au moins 104 fédérations membres de la FIFA, mais c’est jouable, sans pour autant prétendre qu’il s’agira d’une formalité. Il faut donc travailler dur, optimiser le temps et jouer la carte de la proximité, notamment avec les fédérations européennes. Il faut juste rappeler que 80% des pays qualifiés au Mondial sont à GMT ou GMT +1. L’Espagne et le Portugal, à moins d’une heure du Maroc, ou la France – pour des raisons culturelles – sont des cartes à jouer, en plus d’autres facteurs d’ordre   géographique ou religieux, lesquels sont autant d’atouts qui donnent espoir.



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