Pour marketer son économie, le Maroc dispose d’un portefeuille d’une cinquantaine d’accords dont l’objet est de neutraliser la double imposition et sécuriser les investisseurs étrangers. Mais en pratique, la retenue à la source et systématique de 10% sur le règlement de prestations de services aux entités non-résidentes tourne au casse-tête. Nombreux sont les pays qui concèdent des dégrèvements de taxes partiels, voire illimités aux investisseurs. Le Maroc ne fait pas exception. Cette course au moins-disant fiscal est désormais placée sous...
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