Quand la Perruche se pose à Casablanca!
La pièce de théâtre «La Perruche» d’Audrey Schebat débarque au Maroc après plusieurs représentations parisiennes. La pièce portée par les comédiens Barbara Schulz et Arié Elmaleh se jouera le 31 janvier au Megarama dans le cadre de la 9e édition des Théâtrales de Casablanca.
La 9e édition des Théâtrales de Casablanca revient avec la quatrième comédie de la saison, une pièce qui a beaucoup fait parler d’elle en France. Il s’agit de «La Perruche» d’Audrey Schebat. À la fois drôle et touchante, La Perruche réunit le duo de choc Barbara Schulz-Arié Elmaleh. Les deux comédiens se donnent la réplique histoire de faire passer le plus d’émotions au public, du drame à l’angoisse en passant par le rire et la sensualité. «Une pièce écrite au scalpel avec une netteté et une acuité des mots qui fait de l’auteur et metteur en scène Audrey Schebat une sorte de Jules Renard contemporain et féministe», précise l’équipe des Théâtrales, dont l’objectif est d’offrir une animation culturelle régulière, avec une programmation digne des grandes capitales européennes.
Lancées en 2010, les Théâtrales ont présenté à ce jour plus de 55 pièces. Partage de moments de bonheur entre public et comédiens, les Théâtrales permettent de s’ouvrir à d’autres cultures, de sortir de la grisaille du quotidien par le biais de l’humour, et profiter de moments d’évasion, le tout, avec des tarifs étudiés et accessibles à tous pour démocratiser l’accès au théâtre. Ce 31 janvier, ce sera au tour de «La Perruche» d’émouvoir un public fidèle aux Théâtrales. «La Perruche» raconte l’histoire d’un couple qui attend des amis pour le dîner, mais ceux-ci n’arriveront jamais. Ils s’interrogent, parlent des absents… et la soirée tourne au vinaigre! S’agit-il d’un accident, d’une séparation, d’un cambriolage ? À chercher les raisons de cette absence, l’homme et la femme se disputent au sujet de leur couple d’amis. Naturellement, la femme prend la défense de son amie Catherine, et l’homme de son collègue David. À confronter leurs visions radicalement opposées, ils enchaînent les quiproquos absurdes et les révélations intimes, remettant en cause, sans s’en rendre compte, les fondements de leur propre couple. Il y a de la manipulation, des questions équivoques et beaucoup d’esprit et de gaieté. On est sous le charme des deux interprètes. «On sourit, on rit, on est ému. Que demander de plus ? Rendez-vous le jeudi 31 janvier pour«La Perruche» au Mégarama de Casablanca.