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Exposition
Réunissant des œuvres de Aidan Marak, Ghany Belmaachi, Ahmed Hajoubi, Samuel Nnorom, Ebenezer Akinola, Adjei Tawiah, Raphael Adjetey, Amina Benbouchta, Ngimbi Bakambana, Oluwole Omofemi…, cette exposition «La Collective de l’été» se poursuit à So Art Gallery. Elle propose un regard croisé sur des démarches artistiques singulières. Entre matières, gestes et récits, les œuvres présentées offrent une pluralité de langages plastiques et de façons d’habiter la peinture contemporaine. L’occasion idéale de venir (re)découvrir les univers de ces artistes dans un accrochage vivant et sensible.
L’exposition reste visible jusqu’au 31 juillet à la galerie, au 29, rue Jalal Eddine Essayouti, place des Iris, Casablanca.

Vernissage
Bidaya 2025 est une exposition-résidence dédiée à la jeune création artistique marocaine, qui se tiendra du 18 juillet au 14 septembre 2025 à l’Espace Expressions CDG à Rabat. Pour cette deuxième édition, dix jeunes artistes récemment diplômés de l’Institut national des Beaux-arts (INBA) de Tétouan et de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Casablanca (ESBAC) investissent les lieux pour une résidence artistique, du 18 au 24 juillet. Une semaine de création libre, d’expérimentation et de dialogue, donnant naissance à une exposition inédite. L’on pourra partager ce moment fort de la scène artistique émergente, et rencontrer les artistes de cette deuxième édition lors du vernissage, vendredi 25 juillet à 18h, à l’Espace Expressions CDG, 2 av. Moulay Hassan, Rabat.

Concert
Né à Agadir, Farid Ghannam a grandi naturellement dans une ambiance artistique, sa mère est pianiste et son oncle est batteur. Devenu musicien confirmé dans le genre Gnaoui, il affectionne d’abord le gambri avant de s’intéresser à un autre instrument à cordes : la basse. Il joue avec plusieurs groupes dont Mayara Band, formé en 2006. Celui-ci remporte, en 2007, le premier prix du concours Génération Mawazine, s’en suivra en 2008 le premier prix du Tremplin L’Boulvard.

En 2012, la carrière de Farid Ghannam prend un nouveau tournant avec sa participation à la première édition libanaise de «The Voice». Il évolue dans l’équipe de Sherinne Abdelwahab. Celui qui sera surnommé «Faraoula» arrive jusqu’en finale et atteint des millions de vues sur YouTube.
Concert de Hasba Groove, vendredi 18 juillet, à 20h, Villa des arts, 10, rue Béni-Mellal, Hassan, Rabat.

Exposition
Narjisse El Joubari suspend ses œuvres à la Villa des arts de Casablanca, en collaboration avec Art First Galerie. L’artiste est née à Assilah. Elle est intimement liée au moussem culturel de cette ville où, de son propre aveu, elle entre en contact, dès l’âge de 8 ans, avec les pinceaux, les couleurs et l’art en général. Elle est alors encouragée par son père, professeur de philosophie et grand amoureux des arts plastiques. Elle entre à l’Institut des Beaux-Arts de Tétouan. Narjisse puise son inspiration dans la nature, les souvenirs et les récits personnels, transformant ses expériences en œuvres d’art qui interrogent et émerveillent. Elle vit et travaille à Casablanca.
Jusqu’au 14 septembre, à la Villa des arts, 30, bd. Brahim Roudani, rue Abou El Kacem Chabi, Casablanca.

Exposition
Après celle de Casablanca, la Villa des arts de Rabat présente le travail de l’artiste plasticienne Ahlam Lemseffer Mahla «Zina, au-delà du bleu». Ce qui se donne à voir aujourd’hui sur les cimaises casablancaises est un tournant pictural chez l’artiste. L’essentiel est érigé en nécessité. Mahla continue sa quête d’absolu en dépouillant sa toile du superflu pour laisser surgir l’incertain. Par tâtonnements, le superflu s’estompe. Monochromes sonores, c’est une partition picturale que met en œuvre l’artiste, où les interstices s’assimilent aux soupirs musicaux. Mahla s’inscrit dans une abstraction complète. L’artiste interroge notre rapport à la beauté.
Jusqu’au 30 septembre à la Villa des arts 10, rue Béni-Mellal, Hassan, Rabat.
Finissage : mardi 16 septembre à partir de 18h30.

M.C. / Les Inspirations ÉCO