Au sein du panorama judiciaire, une voix a résonné, en novembre dernier, celle de Mohammed Saleh Tamek, délégué général à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion, exposant une réalité préoccupante : la surpopulation carcérale. Avec une augmentation de 10% par rapport à 2021, le nombre de détenus atteignait déjà la barre des 98.000. Un avertissement mettant en exergue l’urgence d’agir pour atténuer cette problématique grandissante. Aujourd’hui, le seuil des 100.000 est franchi. Cette situation ne fait que renforcer l’impératif d’appeler à...
Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ?
Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous !