Selon le président du Conseil de la concurrence, les frais dits de recouvrement ne correspondent à aucune prestation économiquement réelle. Le citoyen doit payer le montant correspondant à la prestation justifiée sans supplément ni surplus. Incitatif et en même temps coercitif, le Conseil de la concurrence, dirigé par Ahmed Rahhou, a donné le tempo à l’égard de la surfacturation marquant les paiements en ligne au Maroc. Pratiques «non justifiées économiquement», «abusives» et faussant «le jeu de la libre concurrence» sur...
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