Culture

La nuit du court-métrage…

Du 28 au 30 novembre, l’Association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’Homme (ARMCDH) met en place un atelier pour les jeunes réalisatrices et réalisateurs engagés dans le but de donner naissance à un court-métrage. Révélations.

En décembre 2016, l’Association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’Homme (ARMCDH) avait organisé la première édition de la Nuit du court-métrage des droits humains, célébrant la Journée internationale des droits de l’Homme (le 10 décembre). Pour la deuxième édition de l’évènement, l’ARMCDH lance un appel à contributions de films à destination de jeunes réalisatrices et réalisateurs, ayant produit un court-métrage questionnant des thématiques liées aux droits humains. L’ARMCDH voit dans cette action participative une mine de nouveaux talents, dont les productions pourront alimenter la programmation de l’association tout au long de l’année, dans le cadre des Jeudis du cinéma et des droits de l’Homme. Toujours dans une démarche de promouvoir de nouveaux regards sur les problématiques de droits humains à travers le cinéma, l’ARMCDH organise, en marge de la Nuit du court-métrage, un atelier de formation, destiné aux jeunes réalisatrices et réalisateurs travaillant sur un projet de premier court-métrage. Lors de cette formation, l’ARMCDH sélectionne des projets de films qui bénéficieront d’une aide à la création pour la réalisation durant l’année 2018.

Aussi, les projets aboutis puis sélectionnés seront projetés lors de la troisième édition de la Nuit du court-métrage, prévue en décembre 2018. Cet atelier a un double objectif. D’abord, il a vocation à donner l’opportunité à des jeunes qui se projettent dans une carrière cinématographique. Ensuite, il familiarise les cinéastes en herbe aux valeurs des droits humains, leur permettant d’acquérir des connaissances en matière d’approche de droits, de développer des réflexes pour prendre en considération et mettre en pratique ces valeurs-là dans le processus créatif de réalisation de film. L’idée est aussi de renforcer les capacités des bénéficiaires dans l’élaboration du projet et à convaincre ses interlocuteurs de son intérêt, notamment les institutions et les organismes intervenant dans le domaine de la création et des droits humains.  


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