«Aujourd’hui, on assiste à une sorte de mutation dans le rôle de la finance et plus encore à une certaine conscience de plus en plus affichée quant à la chose financière inclusive, durable et équitable», indique une note de présentation de ce colloque, ajoutant que «la finance sous son qualificatif – d’inclusif – fait la part belle aux valeurs morales et éthiques de l’économie solidaire et à la durabilité économique».
Selon la même source, lorsque l’inclusion financière est associée à la durabilité, la finance se voit naturellement attribuer un rôle social de premier plan et une tâche de pérennisation des acquis économiques et écologiques dans un monde marchand où le profit l’emporte sur les considérations sociales et éthiques.
À partir de là, le colloque examinera plusieurs axes, dont «les défis économiques, sociaux et environnementaux de la finance inclusive», «les coûts liés à la gestion des enjeux sociaux et environnementaux», «les partenariats public-privé en faveur de la durabilité et de
l’inclusion», «l’avenir des modèles entrepreneuriaux inclusifs en Afrique», «les pratiques durables face aux changements climatiques» et «les micromarchés financiers et la mobilisation des ressources en faveur de l’inclusion et de la durabilité», outre «la micro finance et la durabilité en Afrique».