Brahim Ghali aurait quitté l’Espagne vers l’Algérie
La mascarade s’est terminée comme elle avait commencé! Et la connivence hispano-algéro-polisarienne n’est un secret de Polichinelle pour personne! Selon le proverbe marocain « même un non-voyant la voit dans les ténèbres »!
Le dénommé Brahim Ghali, alias « Mohamed Benbatouche », entré en Espagne avec un faux passeport et sous une fausse identité, pour y recevoir les soins appropriés à son état de santé (covid-19 ou une autre pathologie, on ne le sait guère exactement), a quitté l’Espagne pour regagner tranquillement le pays du mentor et soutien du polisario.
Selon le quotidien « El Pais », Brahim Ghali a regagné l’Algérie à bord d’un vol ayant décollé de l’aéroport Babilonia et ce, après que la justice espagnole n’a pris aucune décision concernant les nombreux chefs d’accusation qui pèsent contre lui: tortures, enlèvements, viols et crimes de guerre.
Un simulacre d’audition en visioconférence du chef des séparatistes, de son lit d’hôpital, qui a nié en bloc toutes les accusations portées à son encontre par nombre de ses victimes, des centaines, aussi bien espagnoles que saharaouis des camps de la honte de Tindouf.
Les autorités espagnoles ont fait part à leurs homologues marocaines de la décision du tribunal et du départ de Mohamed Benbatouche, par la voie diplomatique, a précisé El Pais. Mascarade sur mascarade que cette connivence hispano-algéro-polisarienne, pensent haut et fort des observateurs neutres de plusieurs pays, et pas des moindres: professeurs universitaires, diplomates, anciens ministres, entre autres personnalités influentes!
Le Royaume, non plus, n’est pas dupe de ce scénario du début à la fin. Et que l’on sache, une bonne fois pour toutes, « le Maroc d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier », selon la déclaration récente et cinglante de Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, à plusieurs médias hexagonaux, particulièrement, dont l’hostilité anti-marocaine est connue de tous depuis belle lurette!
Larbi Alaoui