À l’international, le cours du pétrole, qui reste intimement lié à l’embrasement des tensions géopolitiques, notamment dans une région aussi sensible que le Moyen-Orient, a suivi une tendance haussière, bien que modeste. Sauf qu’au Maroc, pendant deux quinzaines successives, les pétroliers n’ont pas répercuté ces hausses. A quoi faut-il s’attendre, surtout qu’une éventuelle augmentation est possible ? Il était question qu’une augmentation de près de 40 centimes soit appliquée sur le carburant à la fin du mois de janvier. Or,...
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