Monde

Masters en management : “Financial Times” dévoile son classement 2022

Le «Financial Times» vient de dévoiler son classement 2022 des 100 meilleurs masters en management au monde. Exclusivement réservé aux écoles accréditées EQUIS et/ou AACSB, ce classement est dominé par les business schools européennes, et notamment françaises, avec 24 établissements classés, et quatre écoles parmi les dix premières, dont HEC (2e), ESCP (5e), ESSEC (6e) et EM Lyon (9e).

 Dans son classement mondial des 100 meilleurs masters en management, le «Financial Times» publie son «ranking» 2022 exclusivement réservé aux écoles accréditées EQUIS et/ou AACSB. Référence dans l’univers des classements des meilleures Business Schools internationales, on remarque que les écoles françaises restent bien classées malgré le nombre toujours croissant d’institutions qui sont représentées.
Le classement se base en grande partie sur une enquête réalisée auprès des diplômés, après trois ans d’expérience, afin d’évaluer la rapidité de leur insertion professionnelle, leur rémunération, leur mobilité internationale pendant et après leur cursus, leur évolution de carrière ou encore leur degré de satisfaction quant à la formation dispensée et la fonction occupée. Le niveau académique de la faculté, son degré d’internationalisation et celui des étudiants, ainsi que le taux de féminisation des différentes parties prenantes sont également des critères d’analyse.
Dans les détails, on trouve que le classement est dominé par les business schools européennes, et notamment françaises, avec 24 établissements classés (dont un IAE), et quatre écoles parmi les dix premières : HEC (2e), ESCP (5e, soit +2 places), ESSEC (6e) et EM Lyon (9e, soit +12 places).
Critères de notation
Pour établir son palmarès, le «Financial Times» s’appuie sur différents critères, à savoir les salaires des anciens ajustés par rapport aux secteurs d’activité, le statut des diplômés, trois ans après leur sortie, la mobilité internationale des diplômés en début de carrière, les expériences internationales suivies au cours de la scolarité, la valeur ajoutée du salaire par rapport au coût de la formation, le pourcentage de doctorants dans le corps professoral, les objectifs des étudiants atteints/réussis/accomplis, l’aide au placement des jeunes diplômés par le service «carrières» et le pourcentage de diplômés recrutés dans les 3 mois.
Le classement prend également en considération le pourcentage de professeurs étrangers, le taux d’étudiants étrangers, les langues étrangères nécessaires à l’obtention du diplôme, le pourcentage de femmes dans le corps professoral, la part des femmes parmi les étudiants dans l’équipe dirigeante, ainsi que le pourcentage d’étrangers dans l’équipe dirigeante.

 

Sami Nemli / Les Inspirations ÉCO



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