La taxation de 40% des bénéfices des entreprises financières et des compagnies d’assurance prévue dans la réforme de l’IS choque dans le secteur financier. Un taux élevé et injuste par rapport à d’autres secteurs réglementés, s’indignent des banquiers. Pour faire passer la pilule, le ministère des Finances serait plus enclin à favoriser une convergence des règles prudentielles et fiscales. Le traitement des provisions constitue l’un des principaux motifs de redressement des banques. Hors secteur financier, le taux cible de 20%...
Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ?
Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous !