Mise au point de la CGEM après la publication d’un article

La CGEM a réagi à un article, publié le 16 janvier 2019, selon lequel «le patronat fait l’objet d’une plainte déposée par l’une de ses employées».
La confédération explique, dans un communiqué, que la salariée concernée n’a pas fait l’objet, à ce jour, d’une procédure de licenciement ou d’une mesure de «rétrogradation». Elle fait donc encore partie des salariés de la CGEM. À ce titre, elle continue à percevoir la rémunération fixée par son contrat de travail.
La confédération indique, dans le même document, que la salariée s’est vue confier des missions en rapport avec ses compétences conformément aux clauses de son contrat de travail qui stipule que «la salariée accepte les missions qui lui sont dévolues par l’employeur dans le cadre de l’exécution du présent contrat et s’engage à accepter toute autre fonction que l’employeur pourrait lui confier dans le cadre de son activité et correspondant à ses compétences et à son profil».
La CGEM rappelle ainsi qu’elle fait, dans le cadre de sa relation avec les salariés, une stricte application des principes et règles fixés par le dahir 1-03-194 du 11 septembre 2003 portant promulgation de la loi 65-99 formant Code du travail ainsi que des clauses de leurs contrats de travail respectifs.