Les taux d’emploi et d’activité ont baissé au premier trimestre relativisant le repli du taux de chômage. Pour le Maroc, il est crucial de remonter le taux d’activité qui s’est établi à 44,5% au 1er trimestre et, au passage, l’un des plus faibles parmi les benchmark. Cela veut dire que l’économie n’exploite pas tout son potentiel de croissance. Le Maroc est notamment handicapé par la faible participation des femmes au marché du travail et le poids des NEET. Une participation...
Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ?
Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous !