Education des jeunes. L’UNICEF s’engage sur un nouveau plan au Maroc
L’Instance nationale de l’évaluation et l’UNICEF ont signé, ce 29 janvier au siège du Conseil supérieur de l’Éducation, de la formation et de la recherche scientifique, un second plan d’action visant la promotion du droit à l’éducation au profit des enfants et des jeunes au Maroc.
En réponse aux orientations de la Vision stratégique de la réforme 2015-2030 et de la loi Cadre 51.17, ce plan d’action s’inscrit dans la continuité de la convention, signée le 16 novembre 2018, entre l’Instance nationale d’évaluation auprès du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique et l’Unicef sur une durée de trois ans (2018-2021), est-il expliqué.
Le premier plan d’action de 2018-2019 s’est clôturé avec la publication du rapport d’évaluation sur le modèle d’éducation des enfants en situation de handicap, l’organisation de rencontres régionales de restitution des résultats de cette évaluation et d’un séminaire international sur le droit à une éducation inclusive. L’année a également connu le lancement de deux études évaluatives portant sur le «temps d’enseignement» et la «violence en milieu scolaire».
Quant au nouveau plan d’action 2020-2021, il porte en plus des études lancées en 2019, sur deux autres projets d’évaluation aussi importants et structurants pour l’éducation: L’évaluation de «l’éducation préscolaire» et celle de «la gouvernance scolaire» (principalement la gestion des établissements scolaires).
Ce plan consiste également à organiser un séminaire international qui sera l’occasion de présenter au public les résultats de l’évaluation sur « le climat scolaire et la prévention de la violence à l’école».
Les résultats attendus pour l’année 2021 visent à renforcer les capacités du système éducatif pour l’extension d’une éducation de qualité aux enfants les plus vulnérables et atteindre les Objectifs de développement durable, notamment le quatrième objectif relatif à l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un même pied d’égalité.