L’absence de précipitations en cette période ne fait que confirmer le scénario catastrophe d’une sécheresse prolongée. Même si des mesures importantes ont été prises pour résorber le déficit hydrique, l’activation des chantiers se fait toujours attendre. Pour les professionnels, il est temps d’adopter des techniques de rationalisation d’eau plus drastiques et surtout de renforcer le contrôle qui demeure le parent pauvre des stratégies déployées. Le Maroc a soif. Ce n’est plus qu’un sol rétif à la charrue qui s’offre aux...
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