Dur, dur d’être un exploitant agricole en ces temps de sécheresse ardue. Et comme si ce n’était pas assez, les coûts de revient élevés remuent le couteau dans la plaie et contraignent les producteurs à vendre à perte au niveau national et international. Des facteurs qui pèsent lourd sur les petits agriculteurs au point de lâcher prise. On ne spécule pas sur les fruits et légumes. Certes, la situation est sévèrement critique, mais se projeter en prévoyant une pénurie dans...
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