Les exportations marocaines enregistrent des performances en demi-teinte, tiraillées entre réussites sectorielles à l’international et déficits d’intégration locale des chaînes de valeur. Si les filières comme l’automobile, l’aéronautique et l’électronique tirent la croissance, l’intégration locale des chaînes de valeur peine à se concrétiser pleinement. Au cours des deux dernières décennies, le Maroc a misé sur le développement de ses «métiers mondiaux» comme l’automobile, l’aéronautique, l’électronique, le textile-cuir, l’agroalimentaire et l’offshoring. Une stratégie visant à renforcer son intégration dans les chaînes...
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