Pour le ministre de l’Industrie et du commerce, le Maroc a enclenché la vitesse supérieure en termes de compétitivité passant à une offre «Best cost» plus étoffée, avec, en plus de la qualité industrielle, de l’innovation, de la compétitivité et surtout un capital humain hautement qualifié. Pourquoi plaidez-vous pour un Maroc «Best cost» et non pas «Low cost» ? Au départ, notre pays voulait attirer les investissements industriels mais le coût de sa main-d’œuvre représentait un blocage à cette ambition....
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