L’appréciation historique de la devise américaine, la plus forte depuis 40 ans, conjuguée à la flambée des cours de l’énergie et des produits de base, fait fondre les réserves de change des banques centrales. Pour l’heure, le management de Bank Al-Maghrib se montre serein avec un trésor de guerre de 31 milliards de dollars. Mais le signal peut passer à l’orange si la guerre en Ukraine se prolonge. La devise américaine s’envole, et les réserves de change des banques centrales,...
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