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Impôts : le tourisme fiscal sous haute surveillance

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Si la grande transhumance des retraités européens du début des années 2000 vers Marrakech et Agadir est quelque peu retombée, de nombreuses personnes (professions libérales, indépendants et depuis peu, des travailleurs nomades), continuent de miser sur le Maroc pour son attractivité fiscale mais aussi pour le coût de la vie, bien plus bas qu’en Europe. Mais une carte de séjour ne vaut pas une résidence fiscale au regard de leurs pays d’origine. Alors qu’ils se croyaient protégés par leur domiciliation...
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