Partout dans l’UEMOA, principale destination des IDE marocains sur le continent, les administrations des impôts ont les prix de transfert dans le viseur. Les contrôles portent sur les rémunérations de services versées à des sociétés liées et au partage des charges communes entre filiales des multinationales. Les consultants déconseillent désormais les facturations basées sur un pourcentage du chiffre d’affaires de l’entité bénéficiaire. La méthode fondée sur les coûts est recommandée. Pour les filiales de groupes marocains qui opèrent dans l’UEMOA,...
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