Monde

Après chaque drame aérien, l’angoisse des aviophobes s’intensifie

A chaque annonce de crash d’avion, le stress gagne du terrain lorsqu’on sait qu’on a un vol à prendre. Chez les personnes qualifiées d’ « aérodromophobes » ou d’ « aviophobe », la situation est bien plus compliquée.

Après le dernier crash en date, celui de l’avion d’Ethiopian Airlines qui faisait route depuis Addis-Abbeba vers Nairobi, il est fort à parier que la panique en gagnera plus d’un parmi les aviophobes.

Ces personnes sont en effet connues pour leur grande anxiété vis-à-vis des avions. Conséquence d’une mauvaise expérience en vol ou d’appréhension des vols aériens, cette peur est la plus répandue de toutes les autres phobies et se caractérise par une angoisse qui grandit crescendo à mesure que le moment fatidique approche.

Avoir peur de l’avion, c’est en somme être convaincu que ce moyen de transport n’est pas sûr et que l’issue du voyage ne peut être que fatale.

La solution?

Bon nombre d’experts se sont déjà étalés sur la question de cette phobie, afin de rassurer les personnes concernées et leur apprendre à gérer leur stress en pareilles situations.

Premier point important, les experts en matière de transport aérien ont pu prouver -chiffres à l’appui- que le voyage en avion n’est guère plus dangereux qu’en voiture.

Aussi, ils recommandent aux aérodromophobes de signaler leur phobie au personnel naviguant, de voyager avec des vêtements confortables, de boire un litre d’eau par tranche de 5 heures de vol et aussi de d’essayer de se déplacer en cabine, car la sécheresse de l’air en cabine donne une sensation de malaise, en raison de la déshydratation…

Ces phobies, certaines compagnies ont tenté de les « gérer » avec leurs clients, par exemple en développement des offres de « stages anti-stress ».


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