Miriem Bensalah prône un «dialogue social franc»
Il s’agit, selon elle, de «créer des emplois pérennes qui mettent au cœur de la dynamique économique du pays la responsabilité partagée des employés et des employeurs, de faire en sorte que les jeunes puissent trouver de l’emploi et que l’entreprise puisse avoir plus de marchés tout en étant compétitive».
Pour ce qui est des revendications du patronat, elle a affirmé que celles-ci «sont complètement en phase avec la situation économique et sociale» du Maroc.
Le gouvernement a un rôle à jouer, en tant que facilitateur, pour rassembler les parties et promouvoir le climat des affaires, a estimé la présidente de la CGEM.
Le dialogue social a repris ce mardi à Rabat, lors d’une réunion présidée par le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, et avec la participation de la délégations de l’Union marocaine du travail (UMT), l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), la Confédération démocratique du travail (CDT), l’Union nationale du travail au Maroc (UNTM) et de la présidente de la CGEM.
Cette réunion s’est tenue également en présence de plusieurs ministres concernés directement par le dialogue social.