Selon la réglementation, tout dépôt à partir de 100.000 dirhams, dans un compte bancaire ou sous forme de placement, doit faire l’objet de diligences sur l’origine de fonds. En pratique, très peu d’entités déploient cette vérification. Une fissure dans laquelle s’engouffrent les «industriels» de fausses factures dont le montant est estimé à 30 milliards de dirhams par le fisc. Avec la forte circulation du cash dans le commerce, les agences bancaires sont confrontées à un dilemme: refuser les dépôts de...
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