BAM se trouve cette année face un choix cornélien dans son combat face à l’inflation. Soit elle relève le taux directeur dès mars puis aura le reste de l’année pour agir, soit elle temporise durant les deux prochains conseils (mars et juin) avant d’intervenir. Les avis des analystes divergent. Alors que la quasi-majorité des acteurs du marché tablent sur une nouvelle hausse du taux directeurs, des voix s’élèvent pour un statu quo, du moins pour les 3 voire les 6...
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