Maroc

Lettre de change : les “traites” en bois, véritable poison pour les TPME

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Il n’y a pas que le chèque qui suscite de la méfiance dans le commerce. Avec un taux de retour impayé de 14%, faute de provision, la lettre de change, dite «traite», largement utilisée dans les transactions inter-entreprises, apparaît comme une des causes majeures de défaillance et de mortalité des petites entreprises. Les autorités monétaires s’en inquiètent. Si l’usage du chèque recule depuis dix ans, selon les données de Bank Al-Maghrib, cela ne tient pas qu’à l’explosion des paiements électroniques,...
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