Vorace, c’est ainsi que pourrait être qualifié le secteur public, au vu du volume de ses dépenses de fonctionnement qui pèsent de tout leur poids sur l’économie nationale. Et c’est le parc automobile qui se taille la part du lion. Des dépenses auxquelles le Maroc ne veut pas renoncer. Or, pour prétendre à une ligne de crédit modulable du FMI, des critères sont à remplir. L’étau se resserre pour le Maroc qui prétend à un tirage sur une ligne de crédit...
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