Suite à la signature de l’accord entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur la hausse des salaires, dans le cadre du dialogue social, beaucoup se demandent comment l’État va mobiliser les ressources dans le contexte actuel peu favorable. Pour Abdellatif Komat, doyen de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’université Hassan II de Casablanca, il faut relativiser. En 2024, indique-t-il, cet impact sera moins ressenti par les finances publiques, contrairement à l’année prochaine.  Sur le plan...